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Mise à jour le 08/10/2021

Point sur le projet de construction de 17 logements seniors

Le projet de construction de 17 logements à destination des seniors, à proximité de la Résidence Montclair et du futur lotissement du Prieuré, fait partie des projets auxquels les élus sont très attachés et qu’ils comptent bien voir aboutir. Développé par le bailleur social Habitat 44, ce projet de 10 logements de 2 pièces (50 m2 ) et 7 logements de 3 pièces (70 m2 ) permettra aux aîné(e)s du Cellier, occupant parfois de grands logements excentrés du bourg, de se rapprocher des services et commerces qu’offre la commune. Ces maisons seniors s’inscrivent en cohérence avec les services existants (maison de santé, EHPAD) ainsi que l’aménagement futur d’un lotissement de 36 logements accessibles notamment aux jeunes couples.

Au regard de la dizaine de demandes reçues en mairie de seniors du Cellier intéressés pour intégrer ces logements, la Commune, déjà convaincue par leur nécessité, continue à mettre tout en œuvre pour qu’ils voient le jour malgré les difficultés rencontrées. L’avancée du projet est aujourd’hui ralentie par des contraintes légales imposées par l’État et que la Commune est tenue de respecter et satisfaire avant de lancer les travaux.

Depuis le permis de construire accordé en janvier 2024, la Commune se heurte à2 points complexes : la compensation des zones humides et les fouilles archéologiques.

Face à la complexité de la compensation des zones humides exigée par l’État, la Commune a décidé de s’associer à Viabilis, l’aménageur du lotissement du Prieuré, pour élaborer une proposition qui consistera à compenser les zones humides avec le terrain des Journaux. Il est prévu que le bureau d’études, missionné par la Commune et Viabilis, dépose le dossier avant la fin de l’année 2024.

Le seul bémol, c’est qu’une fois le dossier déposé, s’ensuivent de très longues procédures obligatoires avant de pouvoir lancer les travaux. Tout d’abord, la Police de l’eau, le service de l’État instructeur du dossier, a un délai de 9 mois pour rendre réponse. Puis, ce n’est seulement qu’une fois que le dossier est accepté que les fouilles archéologiques peuvent commencer. Voilà pourquoi aujourd’hui le projet est considérablement ralenti.

La Commune s’engage à faire tout son possible pour que les travaux commencent le plus vite possible.